p.o.é.s.i.e...p.o.u.b.e.l.l.e

............................................a.n.d..o.t.h.e.r..v.i.s.u.a.l....

vendredi 29 avril 2011

: invitation :

Publié par gat@ negr@ à vendredi, avril 29, 2011
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Libellés : in da city, my photo series

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besoin de rien (envie de rien)

oh, je n'ai besoin de presque rien :
j'ai quelques légumes dans le frigo,
se languissant d'être dévorer,
des restes de conserves des restos du coeur, pouah, des flageolets.
des pâtes, de la farine, du riz pour un bon risotto...
peut-être faudrait faire du pain...
oh, j'ai besoin de presque rien,
ah si, un bon vin !
la roquette sauvage a bien poussé,
mais ma motivation dans le jardin est dans un bateau.
qui tangue, qui tangue, ce qui n'arrange rien.
mal de l'air ambiant, cette brise qui manque tant.
cet air marin est sans démesure dans notre pollution nocturne.
les abeilles sont réglées comme des montres suisses.
elles étaient là, en attente, piochant ici et presque nulle part.
ce pollen attendu, mais rien à se mettre sous la dent....
tout n'est qu'en friche taciturne.
décalage flagrant, rampant, puisses
que tout reprenne, dans nos réalités hors normalité, bien trop rares...
cette année, sûr, il n'y aura pas de potimarron.

victor listen rock steady

victor listen rock steady
rip_4 août 2013

:randonnée:ramadamdam...

la nuit du destin
la nuit des multiples choix.
l'éternité de pouvoir prendre et reprendre son chemin,
recommencer un cycle sans faim, afin de mieux s'élever, tournoyer, fusionner..
... en une ribambelle d'autres destinées.
la nuit du destin
la nuit du chemin,
est calme, fatidique instant
pour repartir dans le temps.
l'existence ne te tourne plus le dos, tu avances lentement,
haletantE, prudemment.
la nuit du destin
la nuit des multiples choix.
la relique du parchemin, la roue de la fortune,
oubliez votre passé, car c'est la nuit des multiples recommencements,
et des chemins piégés,
et des des destins piégés.

: temas :

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Qui êtes-vous ?

  • Xkillalalala
  • gat@ negr@

MELANCOLIE ANONYME 2007 & surprises

la chienne n'a que des ennemis

la chienne ne comprend pas,
elle tire sur sa corde,
ça l'étrangle, la salope...
elle force, force,
tire encore jusqu'à en perdre haleine,
jusqu'à s'écraser sur le sol,
sa langue rose hors de sa gueule,
toute baveuse...
elle n'a plus la force d'aboyer.
Plus la force de s'échapper mais force.
imaginant la casser à chaque effort,
à chaque fois.
elle sait que plus personne ne viendra,
la corde l'étrangle encore à chaque effort.
son instinct guide son énergie,
ses moindres soubresauts de survie,
qui sait si maintenant dans le sang qui coule de son entaille,
subsiste encore le goût d'une évasion réussie.
sa résistance s'enfuie comme le froid du petit matin à l'orée du bois.
cette nuit fut constituée de tentatives désespérées d'une souffrance annoncée.
son souffle de vie s'épuise,
son souffle de vie s'amenuise,
et ses crocs restent alertes dans la mort,
comme dans la survie.
la gueuse n'a pas voix au chapitre,
elle n'existe pas,
foutue réalité.
son haleine est fétide,
ses crachats suffisent.
elle ne peut plus séduire,
plus la force de s'apitoyer sur son propre sort...
mais fière, fière, la bave au vent,
tentant sans cesse d'échapper à cette main mise...
la vie souvent ne tient qu'à un fil,
malicieux, pointilleux. la vie ne tient qu'à une laisse...
qu'à une corde au cou, souvent.
des fois,
la corde se casse...
ça dépend de la longueur de la laisse,
ça dépend de sa volonté.
ça dépend de sa longueur de laisse,
envers soi-même, de sa propre bonté.

MELANCOLIE ANONYME 2011

Mes origines me tuent,
Mon parcours atypique,
ma solitude, mes enfants,
Mes questionnements également.
Mes amiEs m'ont tué, mes désillusions s'enchaînent.
Ma flamme, mon feu, ma rage, ma haine
Tenace, vorace
Ma précarité forcée, ma poche percée...
Mes désirs, ma vague traînante à l'âme,
Riche, mon produit intérieur brut.
Triche donc avec l’humeur en rut.
Avec les miches dans la bise venue de l'Est,
Mon instinct démuni, mes mensonges présents,
Mon manque d'engagement,
mes recherches d'affect-infect-infest-déteste...
Ce n’est que ma sale défaite.
Il n’y a pas que le froid qui tue ici,
Ton sourire et yeux perçants aussi.
Mon banquier n'existe pas, Ni la tragédie ici-bas.
Mon destin, mes choix, Mes vices, ma survie,
Ma fragile désobéissance, mon refus de travailler selon toi,
Irrécupérable... Impératrice obstinée.
Que la lutte semble interminable.

: SOS-IVG :http://www.sos-ivg.net/

Faiseur d'anges,
faiseuse de rêves,
Les étoiles sont éteintes,
elles sont creuses,
faiseur d'utopies.
In Utéro, liberté ?
utérus-douleur-cachet ?
Aspiration, curetage.
Sauvetage ?
Ange déchu, décision crue.
Larme de sang.
Ange déchu, faiseur d'ange.
Seule ma décision l'emporte,
et t'amène avec le vent tel un papillon,
qui complote.
Demain les cerises seront bleues,
les matins toujours vaseux.
et toi, quel lendemain visqueux ?
Gluant de riz-miel, sentimentalement varicelle.
Mon petit ange lépreux,
ton monde est ailleurs, loin de notre miséricorde,
que celui-ci t'accorde tout le "bien" que nous refusons.
Mon petit ange.

http://www.sos-ivg.net/

: otaku party : la (f)rance d'après 2009 :

: you & me if you want :

  • Audioblog RADIOFALAFEL radioshow
  • mixpod plaies list
  • Radiofalafel myassinspace

: amig@s :

  • loutrebarbier blog
  • mafaldark (photos)
  • zen (photos punx lyon)
  • noptek (photos)
  • lachoriza
  • skalpel blog
  • ivan brun blog

: radioshow on Radio Canut :

: radioshow on Radio Canut :

: activist@s :

  • RAD PARTY FANZINE
  • éditions Terre noire blog (lyon)
  • le numéro 0 (st étienne)
  • libertad pres@s (chili)
  • radio dio (st étienne)
  • radio canut (lyon)
  • noticias anarcopunx
  • hommodolars
  • collectif LA PATATE CHAUDE (grenoble Roms)
  • GRENOBLE INDYMEDIA
  • phototheque MOUVEMENT SOCIAL (france)
  • FORUM DYNAMITE (punx lyon)
  • la france pue (st étienne)
  • rebellyon.info (lyon)
  • lustucrust (grenoble)

Sté ROchetaillée squatt

Sté ROchetaillée squatt
Mis origenes me matan,
Mi curso atipico, mi soledad, mis nin@s,
mis cuestionamientos también.
Mis amig@s me mataron,
mis desilusiones se desconectan.
Mi llama, mi fuego, mi rabia, mi odio,
Mi precariedad forzada, mi bolsillo abierto,
Mis deseos, mi ola arrastrando al alma,
Ric@s. Rico, mi producto interior bruto.
Engane pues con el humor en celo.
Con el beso venido del Este,
Mi instinto desamparado,
Mi instinto que engana, mis mentiras presentes.
Mi falta de compromiso, mis busquedas de affect-infect-infest-asco…
Solo es mi sucia derrota.
No hay que el frio que mata aqui,
Tu sonrisa y tus ojos perforantes también.
Mi banquero no existe, Ni la tragedia alli.
Mi destino, mis elecciones,
Mis defectos, mi supervivencia,
Mi fragil desobediencia, mi compromiso de no trabajar segun ti,
Irrecuperable. Emperatriz obstinada.
Que la lucha parece interminable.

j'me traîne et m'entraîne à d'obscurs combats
que ma vengeance saigne
et explose ici bas
violence dans les gênes, trahir sans rimelle
à chaque jour suffit sa peine, n'est-ce pas ?
le sourire du bébé rappelle à l'ordre
tel cet homme politique d'état
rictus, hibiscus, mordicus
laissons le tomber en mille fracas
grave, m'entrave
le vice de la vertu, tes pendentifs n'y changent rien
tu restes à l'écart, étrangère et souveraine...

Cordéac en Trièves, 2007

Cordéac en Trièves, 2007
je suis et ne suis pas.
j'aimerai être ce que je rêve. mais les rêves sont ailleurs.
les rêves ne sont que pourritures et n'existent pas.
telle somnambule, telle irréductible dans les songes d'ici bas,
je me vois parcourant les allées verdoyantes de mon
songe d'ici, loin de ma cité d'antan.
où les hibiscus se remplacent avec les rosiers frais et
juvéniles des patios lointains.
je suis et ne suis pas, qu'est ce qui me pousse à
poursuivre ce rêve enfantin ?
le choix de ma vie, le choix de mon destin.
celui que l'on acquière avec fierté, avec malice et
sacrifice.
Celui que l'on ose jamais avouer, même sous une pluie
de sévices.
je suis et ne suis pas. moi, étrange, iconoclaste, sans
étiquette, sans classe. la grande classe.
j'ai choisi un ailleurs, un autre monde meilleure, celui qui me poursuit, là, toujours loin de ce que l'on veut t'imposer.
rien n'est figée.
combien de rêves factices, combien d'illusions salvatrices...
tu sais que je t'aime, vous savez combien je vous aime.
l'amour est fou, il n'existe pas.
je suis et ne suis pas là.
toc, toc, toc.
personne ne réponds et pourtant tu sais que je suis là.
je serais et ne suivrait pas. je ne veux plus la fuite, je veux la poursuite, vous ne me suivrez plus.
loin de tout précepte, rien ne m'intercepte,
trop à la traîne, trop de rengaine.
vous ferez bon ce qu'il vous semblera.

Mens en Trièves, 2006 spring

Mens en Trièves, 2006 spring
Que dire, rien ou si peu. J'ai tellement de choses à faire. J'ai 50 millions de choses à connaître. J'ai 50 millions de coups de fil à passer, pour écouter, raconter, faire et voir... J'ai 50 millions d'idées à la minute. Je ne prends pas de recul. Je n'y arrive pas. J'ai 50 millions de choses à te dire. J'ai 50 millions de choses à vous raconter. Le temps est tellement court. Ce n'est pas le moment d'oublier. Durant des mois j'étais de maison en maison, passant un hiver presque facile, dans une certaine tranquilité... pour décider, réfléchir et agir. Que s'est-il passé au final ? J'ai accouché d'un mort-né. Et comme on dit dans ce beau pays : La montagne a donné naissance à une souris... :::

comptine malicieuse...

J'ai goûté celui-ci, j'ai léché les lèvres de celui-là...

Ils n'étaient pas très bons, pas les bons...

Ayant admiré le charme de celle-ci, elle était belle, viande fraîche et douce à la pensée...

ce n'était qu'un instant de grâce fragile à la merci de ma volupté,

Addictions de non sens et des sens inexplorés.

Je suis maintenant dégoûtée.

Celui-là sentait le poireau, l'autre l'oignon,

tiens celui-ci le pois chiche, miam...

J'ai retrouvé mon âme féline, sentant ton odeur de l'Île de Siam, le must du musc dans ce brouhaha permanent....


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Calendrier-lunaire.net

Somos unas clases peligrosas. Somos jóvenes, viej@s o todavía en el vientre maternal. Somos un@s nómad@s, loc@s, marginales. Putas, maricons, lesbianas, somos desarreglad@s según sus gustos normativos. Somos habitantes de las afueras, l@s rurales, l@s inmigrad@s. Contestatari@s, rebeldes, militantes, desganad@s. Guerriller@s clandestin@s, oprimid@s. Estamos sin clases, sin papeles, sin etiquetas, sin banderas. Somos una clase peligrosa, estamos sin compartimientos, somos todo y nada, estamos por todas partes y en alguna parte. Pero somos un@s enemig@s. Somos pobres, para nosotr@s es siempre el estado precario sufrido o escogido.
Pero no somos un@s papamoscas. El matamoscas está por todas partes. No somos unas moscas. No somos idiot@s.
Somos solamente un@s pobres, pobres anteriores, pobres según, pobres de mañana. Precari@s los días siguientes, precari@s ricas de vida.
El capitalismo era una palabra sagrada en algunos tiempos, decirse "anticapitalista" era sinónimo de comunismo para la mayoría de la gente. Pero no somos engañad@s. No somos comunistas, ni lo que usted quiere, somos justo pobres. El capitalismo es uno de nuestros enemigos. Somos una amenaza, pero nuestra amenaza es nuestro enemigo primero : la gente rica. No somos una categoría social, no somos dividid@s. somos insumis@s. Nuestra cólera es efectiva. No tenemos que perder nada, porque perdimos todo, no tenemos, no queremos nada o nada más. No somos un@s furios@s, no somos ni un motín, ni una jauría. Pero tenemos ganchos, tenemos los ganchos. Somos peligros@s?
Somos peligros@s para su sistema, para su potencia. Somos much@, somos vegetarian@s y carnívor@s. Somos dejad@s en cuenta, pero no para su cuenta en banco, somos prohibid@s bancario. No estamos en quiebra, somos un@ mil y ciento, somos una amenaza para su sistema. Nos dejaremos hacer.
Estamos de ayer, de hoy y de mañana, y queremos su destrucción. Somos pobres y resistentes, incorregibles y sincer@s. Queremos todo para todo el mundo y nada para nosotr@s. No tenemos esperanza, no tenemos más ilusiones.
Sí, somos " una clase " peligrosa.
Anticapitalista, antisexista y antifascista también y todo lo que nos desagrada en este mundo que no es el bueno. Poca importancia tiene.
Nada en los bolsillos pero nuestro futuro queda sonriente, hasta bajo una lluvia de desesperación. Se vive bien bajo el sol de los atajos....