des
lignes droites,
des traverses de tunnels, des tunnels de l'amour ? Comme en Kleven, Ukraine.
des traverses de tunnels, des tunnels de l'amour ? Comme en Kleven, Ukraine.
des vallées... enneigées, vertes
peut-être,
de la fumée,
le smog des villes,
la clarté du ciel des montagnes,
des soucis, de l'ennui ?
la monotonie ?
Chut, faut pas dire certaines phrases,
ni certains mots, comme "j'aimerai bien revoir ton sourire", ou "j'ai encore envie de toi".
tu conduis ton train mécaniquement,
attention cet éboulement peut-être fatal,
ces chutes de pierres, mortelles ou pas...
tu connais bien la bête, ta bête, elle est docile,
entre tes doigts, entre tes manettes et boutons.
j'aime sentir sur ma peau tes mains de travailleur, sèches et âpres,
tes caresses-douceur...
chut, il ne faut pas le dire !
tu sais si bien éviter les obstacles...
pourtant, tu connais bien des chemins,
des trouvailles, des raccourcis,
comme des voies sans issues,
tu détestes les tunnels.
moi aussi.
nous sommes deux à ne pas aimer l'obscurité, chut.
il y a toujours des choses à ne pas dire...
nous adorons les feux de joie.
la lumière qui illumine la pénombre,
l'étincelle, le feu de la nuit,
éclairant nos visages souriants,
les étoiles dans le noir guidant nos pieds en goguette.
instants magiques, féeriques qui pourraient presque nous faire dire...
chut, c'est un secret.
mais je brûle déjà en enfer, le goût de la vie m'y ayant déjà plongé.
veux-tu m'accompagner dans la torpeur, et rallumer les mille feux feux follets,
de mon désir de poursuivre pour encore s'aimer.
chut et puis zut.
les yeux sont ailleurs, les battements de coeur tentent d'être à l'unisson,
le tic-tac veux sortir de nos carapaces malades...
qu'il est bon pourtant d'aimer. chut et puis zut, j'attends le soleil moi aussi. dehors il est encore si beau. chut.
pourquoi préférer se faire toujours du mal, alors que le monde en dehors de nos cerveaux rongés par tant de questionnements, peut-être pas si mal ?
des milliers de kilomètres nous séparent, des montagnes, des virages, des tunnels, des obstacles, l'ennui, l'envie ? chut.
le silence de tes battements du coeur, je les retrouve ailleurs, dans de milliers d'autres souvenirs communs. ceci est un partage, forgeron de carapaces si dures... c'est peut-être aussi une désillusion ? par tant de rendez-vous manqués, de non-dits et peut-être de jardin secret...
qu'allons nous faire maintenant ?
partager nos souvenirs, nos rires, nos bons moments, nos illusions, nos baisers d'un instant ?
de la fumée,
le smog des villes,
la clarté du ciel des montagnes,
des soucis, de l'ennui ?
la monotonie ?
Chut, faut pas dire certaines phrases,
ni certains mots, comme "j'aimerai bien revoir ton sourire", ou "j'ai encore envie de toi".
tu conduis ton train mécaniquement,
attention cet éboulement peut-être fatal,
ces chutes de pierres, mortelles ou pas...
tu connais bien la bête, ta bête, elle est docile,
entre tes doigts, entre tes manettes et boutons.
j'aime sentir sur ma peau tes mains de travailleur, sèches et âpres,
tes caresses-douceur...
chut, il ne faut pas le dire !
tu sais si bien éviter les obstacles...
pourtant, tu connais bien des chemins,
des trouvailles, des raccourcis,
comme des voies sans issues,
tu détestes les tunnels.
moi aussi.
nous sommes deux à ne pas aimer l'obscurité, chut.
il y a toujours des choses à ne pas dire...
nous adorons les feux de joie.
la lumière qui illumine la pénombre,
l'étincelle, le feu de la nuit,
éclairant nos visages souriants,
les étoiles dans le noir guidant nos pieds en goguette.
instants magiques, féeriques qui pourraient presque nous faire dire...
chut, c'est un secret.
mais je brûle déjà en enfer, le goût de la vie m'y ayant déjà plongé.
veux-tu m'accompagner dans la torpeur, et rallumer les mille feux feux follets,
de mon désir de poursuivre pour encore s'aimer.
chut et puis zut.
les yeux sont ailleurs, les battements de coeur tentent d'être à l'unisson,
le tic-tac veux sortir de nos carapaces malades...
qu'il est bon pourtant d'aimer. chut et puis zut, j'attends le soleil moi aussi. dehors il est encore si beau. chut.
pourquoi préférer se faire toujours du mal, alors que le monde en dehors de nos cerveaux rongés par tant de questionnements, peut-être pas si mal ?
des milliers de kilomètres nous séparent, des montagnes, des virages, des tunnels, des obstacles, l'ennui, l'envie ? chut.
le silence de tes battements du coeur, je les retrouve ailleurs, dans de milliers d'autres souvenirs communs. ceci est un partage, forgeron de carapaces si dures... c'est peut-être aussi une désillusion ? par tant de rendez-vous manqués, de non-dits et peut-être de jardin secret...
qu'allons nous faire maintenant ?
partager nos souvenirs, nos rires, nos bons moments, nos illusions, nos baisers d'un instant ?
Notre voyage. chut, oh puis zut.

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